N-être, la Cendrillon Tibétaine

visuel n etre logo légertout public à partir de 8 ans

Conte/Danse Hip Hop/Musique

Sur les hauts plateaux du Tibet, bravant l’interdit de sa mère, une petite fille va voir les démones. Coussins chatoyants, paroles sucrées, elle se laisse séduire, emporter dans un tourbillon de folie.
Les démones, une mère et une fille : doubles mauvais contre lesquels il va falloir lutter…
Ce conte aux surprenantes similitudes avec notre Cendrillon européenne, nous entraîne dans les mystères de l’âme, de la construction de l’être…
Pour raconter cette histoire trois artistes accordent leurs disciplines, s’interpellent et se répondent : danse, conte, chant et musiques…

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Avec :
Françoise Barret : Comédienne, Auteure, Conteuse et adaptation textes
Isabelle Bazin : Chanteuse, Accordéonniste et adaptation musiques
Wilfried Ohouchou : Danseur Hip Hop
Mise en scène : Jean-Louis Gonfalone / Chorégraphe : Annick Charlot
Costumes : Laurence Simon-Perret / Lumières : Frédéric Dugied / Visuel : Annie Demongeot / Crédit photo : Dimitri Caulaincourt

Coproduction : Théâtre dire d’étoile, Conseil Régional du Nord-Pas-de-Calais, Conseil Général du Pas-de-Calais, Spédidam, Cgnie Acte
Résidence de création : Chok théâtre St-Etienne, Rollmops Théâtre Boulogne-sur-Mer

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Echo de la presse :

C’était la première fois, vendredi soir, que le studio des Hérideaux accueillait une troupe pour un spectacle.
L’honneur revenait au Théâtre Dire d’étoile qui proposait une adaptation d’un conte, issu du recueil de contes tibétains « Le Vétala d’or », réalisé par la conteuse Françoise Barret, accompagnée sur scène par la musicienne Isabelle Bazin et le danseur Wilfried Ohouchou. Trois artistes qui accordent le conte, la danse, le chant et la musique pour raconter l’histoire de Lumière-Turquoise.
Un conte pour parler des difficultés de l’adolescence, faite de violences et de recherches d’identité et pour explorer les mystères de l’âme et de l’ego.
Un très beau conte rythmé par les chants tibétains pour marquer les rituels chamaniques et par la chorégraphie d’Annick Charlot.

Le Progrès – 6 février 2012

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